Matériels de survie :

Dans tous les cas, les choix matériels du survivaliste doivent s’orienter vers du matos solide, durable et réparable.

Mais le mieux reste de faire des essais sur le terrain en commençant par s’équiper et charger son sac. Il est bon de considérer que si son sac est trop lourd ,le survivaliste doit délester et abandonner tout le matériel superflu…

Il est payant sur le long terme, de n’emporter que le strict nécessaire.

Le superflu du survivaliste :

L’estime de ce qui est superflu ou pas revient à chacun. Mais chacun devra pourtant assumer sa charge à porter. Ceux d’entre nous qui pratiquent la randonnée savent bien que la charge dans le sac diminue souvent avec l’expérience du porteur. Et dans une optique de survivalisme nomade, il est essentiel de recourir au maximum aux ressources, naturelles ou pas, rencontrées en chemin.

Le matériel de survie, comme le reste de l’équipement, doit être réduit au maximum, ou au minimum vital.

Plein de petites choses mises bout à bout pèsent vite un poids conséquent. Et pour les survivalistes, la charge est un handicap en terme de mobilité….

Charge utile du survivaliste :

Il est à considérer que le poids de chargement total maximum du survivaliste ne doit pas excéder 40% du poids du porteur (équipements, sac, etc.). 

Se passer donc du superflu, en exemple le “pied de biche” que je conseille au sédentaire ne l’est pas pour le nomade. Pas plus que la corde d’escalade  ou la tronçonneuse (arme psychologique efficace néanmoins).

 

La pince multi-fonctions de survie doit comporter une tenaille pouvant couper barbelés et fils métalliques.

Les arbalètes de chasse

Armes accessibles à l’achat pour toute personne majeure, plus de 18 ans.

Présentation de différents modèles d’arbalètes de chasse (d’épaule), dans la plage de puissance adéquate .

La plage de vitesse du projectile s’étale de 55 m/s à 175m/s.

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